Ciné-Débat en présence de la réalisatrice – FRAGMENTS DE RÊVES de Bahïa Bencheikh-El-Fegoun / ALGÉRIE – RDV des cinémas d’Afrique Publié le Posted on 29 janvier 202029 janvier 2020 Partager samedi 15 février 2020 de 17h30 à 19h00 Planifié Actualités Actualités raccourcis articles Ciné-débat Cinéma Cinéma Équipements Famille Jeune public Jeunesse Mon Ciné Pratiquer Sortir Mon Ciné, 10 avenue Ambroise Croizat, 38400 Saint-Martin-d'Hères Carte Télécharger le programme complet CINÉ-DÉBAT samedi 15 février à 17h30 > en présence de la réalisatrice Bahïa Bencheikh-El-Fegoun > Animé par le Collectif du 17 octobre 1961 et Algérie au coeur FRAGMENTS DE RÊVES Algérie – 2017 – 1h15 – doc. – VOST de Bahïa Bencheikh-El-Fegoun * Prix du meilleur documentaire, Al Ard Doc Film Festival, Cagliari, 2018 Bahïa Bencheikh-El-Fegoun s’attache, dans son oeuvre, à réinstaurer l’individu au centre d’une société qui semble pourtant l’oublier. Au coeur des questions politiques et sociales contemporaines, son oeuvre interroge la déshumanisation des débats et offre une nouvelle réponse, plus intime, à l’évolution des sociétés. Ses oeuvres H’na Barra (2014) et Fragments de rêves (2017) donnent à voir différentes formes de contestations dans la quête éternelle de l’égalité. Les Rendez-vous des cinémas d’Afrique du mercredi 12 au mardi 18 février à Mon Ciné Le cinéma est toujours est une invitation à la rencontre… Témoignages exclusifs, paroles directes et fortes exprimant un puissant désir de liberté, de dialogue et de paix. Pour une meilleure connaissance du mouvement social en Algérie, de sa nature et de son fonctionnement au-delà du cliché de casseurs qu’on voudrait bien coller aux manifestants. La projection de ce film aux Rencontres cinématographiques de Bejaïa a été interdite par le ministère de la Culture algérien, en septembre 2018. Publié Le : Vendredi, 26 Avril 2019 Accueilli à la Cinémathèque d’Alger, le documentaire, tourné entre la fin 2012 et le début 2013, restitue, 75 mn durant, la parole à de jeunes Algériens pour exprimer leur désarroi, et leur mal-être dans une Algérie ou le droit de manifester était encore interdit. LIRE +